Tweetsthat mention Le blogue de Marie-Claude Ducas » Blog Archive » Les jeunes, c’était toujours mieux dans le temps -- Pingback on 2011/01/26/ 11:27; Marie-Claude Ducas: Les vieux ne sont pas sexy. Et les jeunes sont des extraterrestres. | Pierre Duhamel - Pingback on 2011/03/18/ 00:04 CĂ©tait mieux avant, au moins on mourrait plus tĂŽt malade et dĂ©sargentĂ©. Avant c’était mieux, surtout quand on bossait au fond des mines dans le Nord ou dans le Gard. Parce que quand on rĂ©chappait aux accidents tel que les Ă©boulements, les inondations ou le grisou, au moins on Ă©tait sĂ»r de mourir de silicose. C’était mieux du temps des Blancs. Dans nos dispensaires il n’y a pas un flacon de mercurochrome, les blancs nous en donnaient. On Ă©tait vaccinĂ©, on ne l’est plus. Les Ă©coles Laferme c'Ă©tait : 2 chambres une piĂšce principale, un grenier et des ddĂ©pendances, un seul robinet d'eau froide Ă  l'Ă©vier et un puit, un tableau electrique vĂ©tuste, pas de sanitaire (on faisait dans la rigole sous la pente du toit et on attenait la pluie) pas de chauffage, juste un cantou. C'Ă©tait ça la ferme "avant". Edit : CĂ©tait tout de mĂȘme mieux du temps des blancs (Kofi Yamgnane) l'ai fait en d'autres temps : mais au pays des doigts de l'homme; il est interdit de dire cette sorte de veritĂ©. Il reste Ă  juger Dịch VỄ Hỗ Trợ Vay Tiền Nhanh 1s. "On aurait pu espĂ©rer mieux", a lĂąchĂ© Laurent Blanc Ă  l'issue de la rencontre contre la NorvĂšge. DĂ©fait 2 Ă  1 suite Ă  une erreur technique de Lassana Diarra, les Bleus ont montrĂ© "beaucoup de choses positives" selon le sĂ©lectionneur, mĂȘme si "quand on prend deux buts, c'est difficile d'ĂȘtre satisfait", avoue-t-il. Que retenez-vous de ce match ?Je retiens beaucoup de choses, on va faire l'analyse, mais Ă  chaud, je suis assez satisfait du jeu produit, la seule grosse dĂ©ception est que le rĂ©sultat est dĂ©favorable. Des joueurs ont bien jouĂ©, ont respectĂ© ce qu'on avait mis en place. Il y a beaucoup de choses positives mais dans le sport, le rĂ©sultat gomme tout ça. Mais il faudra s'en souvenir."C'est une dĂ©faite encourageante ?Il n'y a jamais de dĂ©faite encourageante. On se prĂ©pare pour gagner. Dans le contenu du match il y a des choses trĂšs intĂ©ressantes la possession de balle et les occasions qu'on s'est créé. Mais il y a le rĂ©sultat, c'est dĂ©courageant. Je l'ai dit aux joueurs "vu votre production de ce soir, on aurait pu espĂ©rer mieux".L'Ă©quipe de France a eu les meilleures occasions...On mĂ©ritait mieux. L'Ă©quipe de NorvĂšge Ă©tait plus expĂ©rimentĂ©e. Si il n'y a pas cette erreur technique Ă  la fin du match, on finit sur un NorvĂšge a-t-elle Ă©tĂ© chanceuse ?Non, la NorvĂšge Ă©tait en meilleure forme physique. On les a privĂ©s de beaucoup de ballons. Mais la NorvĂšge peut ĂȘtre dangereuse sur coup de pied arrĂȘtĂ©, c'est d'ailleurs le premier but qu'on prend. Il nous a manquĂ© de la concentration dĂšs qu'on a ouvert le score. On n'a pas pu tenir le score et gagner le d'avoir eu seulement six changements ?Oui j'aurais aimĂ© avoir plus de changements. On avait demandĂ© Ă  en faire huit mais il n'y avait que 16 joueurs sur la feuille de match de la NorvĂšge, c'est normal que les NorvĂ©giens aient refusĂ©...Vous avez testĂ© deux systĂšmes...Dans les deux systĂšmes, on peut trouver des satisfactions. Le deuxiĂšme systĂšme 4-2-3-1 a plus favorisĂ© l'Ă©quipe de NorvĂšge. Le premier en 4-4-2 leur a posĂ© plus de satisfait de votre dĂ©fense ?Quand on prend deux buts, c'est difficile d'ĂȘtre satisfait mais dans l'axe central, on a bien maĂźtrisĂ© les attaquants norvĂ©giens. Mais aprĂšs, il ne faut pas faire d'erreur technique, comme sur le deuxiĂšme but. Mais globalement il y a des enseignements positifs mĂȘme sur le plan y avait des points Ă  marquer qui a rĂ©ussi ?Je ne donnerai pas de noms. Je crois qu'il y a des joueurs qui dĂ©butaient au niveau international, ils Ă©taient timorĂ©s au dĂ©but, mais ont offert leur qualitĂ©s, avec un bon Ă©tat d'esprit. Je suis globalement content de leurs prestations. Patientez, vous verrez bien qui sera lĂ  ou pas au mois de septembre. Mais certains, lĂ  ce soir, seront lĂ  en Espoirs ont perdu ne regrettez-vous pas d'avoir pris Sakho ?Non je n'ai aucun regret par rapport Ă  ça, il frappe Ă  la porte des bilan faites vous de ces trois premiers jours ?C'Ă©tait trop court. Il fallait mettre systĂšme et philosophie en place. Ca fait beaucoup en peu de temps. On y est presque arrivĂ©. Les mots du vin DĂ©bourbage Action consistant Ă  dĂ©barrasser le moĂ»t des particules en suspension bourbes. Extrait sec Constituants non liquides du vin. Grand cru classĂ© DĂ©signe, dans le Bordelais, certains chĂąteaux du MĂ©doc mais Ă©galement de Saint-Émilion qui font l'objet d'un classement. Consistance En dĂ©gustation, l'Ă©quivalent du fait de mĂącher on Ă©voque d'ailleurs la mĂąche d'un vin rouge tannique. On parle alors de fermetĂ©, de fluiditĂ©, de moelleux, de duretĂ©, et pourquoi pas du croquant d'un vin primeur par rĂ©fĂ©rence au grain de raisin. Effervescent Tout vin chargĂ© en CO2 gaz carbonique, qui se rĂ©vĂšle sous forme de bulles, renforçant l'effet de fraĂźcheur en bouche. Cette production de gaz est issue de ce que l'on nomme la seconde fermentation en bouteille. Elle intervient sur les champagnes et sur les vins effervescents de type crĂ©mants. AustĂšre Vin corsĂ© et fermĂ© dont on perçoit les qualitĂ©s, mais qui n'exprime pas tout son potentiel, on parle Ă©galement de vin sĂ©vĂšre. ArĂŽmes tertiaires ArĂŽmes issus de l'Ă©levage du vin en bouteille. Les arĂŽmes Ă©voluent avec le temps, du fruitĂ© frais aux notes de fruits compotĂ©s, confits, ou sĂ©chĂ©s, jusqu'aux arĂŽmes de venaison ou de sous-bois. Dame-jeanne Grosse bouteille ou bonbonne habillĂ©e d'osier servant au transport du vin et au stockage des vieilles eaux-de-vie avant assemblage. Élevage Il peut durer plusieurs annĂ©es. Les bouteilles empilĂ©es dans les caves attendent Ă  l'abri de la lumiĂšre et de la chaleur. Les levures restituent peu Ă  peu au vin des composĂ©s qui l'enrichissent. Un Ă©levage long est une garantie de qualitĂ©. Liqueur de dosage champagne Également appelĂ©e liqueur d'expĂ©dition, solution constituĂ©e de vin et de sucre ajoutĂ©e au champagne aprĂšs le dĂ©gorgement et qui dĂ©termine le type de vin extra-brut, brut, extra-dry, sec, demi-sec. voir toute la liste le saviez-vous Quel verre doit-on utiliser pour boire du champagne ? Il faut tout d'abord rappeler que le champagne est un vin Ă  part entiĂšre, et qu'en matiĂšre de service il doit ĂȘtre traitĂ© comme tel. La traditionnelle flĂ»te fine et droite ainsi que la coupe basse et large, verres emblĂ©matiques et indissociables du champagne, sont dĂ©sormais Ă  bannir. Le champagne est de plus en plus servi dans les mĂȘmes verres que ceux utilisĂ©s pour les vins tranquilles. Les verriers ont donc créé des "flĂ»tes" qui reprennent les caractĂ©ristiques des verres Ă  vin, comme la base Ă©vasĂ©e et le buvant resserrĂ©. D'une grande Ă©lĂ©gance, ces flĂ»tes new-look et trĂšs esthĂ©tiques mettent en valeur les qualitĂ©s du vin tout en prĂ©servant une agrĂ©able effervescence des bulles. Peut-on acheter de bons vins lors de ventes aux enchĂšres ? De nombreuses ventes aux enchĂšres ont lieu chaque annĂ©e en France et Ă  l'Ă©tranger, organisĂ©es parfois par de prestigieuses maisons. Ces ventes sont souvent la partie visible d'un inquiĂ©tant phĂ©nomĂšne spĂ©culatif qui touche particuliĂšrement les crus classĂ©s de bordeaux. L'intĂ©rĂȘt porte surtout sur les vins moins connus dont on peut Ă  l'occasion acquĂ©rir quelques bouteilles Ă  un trĂšs bon prix. Il est toutefois recommandĂ© de se dĂ©placer pour constater par soi-mĂȘme l'Ă©tat des bouteilles, et pour se renseigner sur leur provenance, et sur la façon dont elles ont Ă©tĂ© conservĂ©es. L'expert de la vente est capable de fournir ce type d'informations, mais dans une certaine limite. Plus les vins sont vieux, moins leur "traçabilitĂ©" est garantie. Dans ce type de vente, les amateurs de vins de Bourgogne peuvent trouver leur bonheur. En effet, le classement de la rĂ©gion est un casse-tĂȘte et la qualitĂ© des vins varie considĂ©rablement d'un producteur Ă  l'autre. RĂ©sultat, ces vins sont souvent boudĂ©s sauf les stars, et il est possible de les acquĂ©rir Ă  des prix trĂšs compĂ©titifs. L'art de la dĂ©gustation est-il innĂ© ? L'univers du vin n'est pas rĂ©servĂ© Ă  quelques personnes ayant un sens innĂ© de la dĂ©gustation. Il existe bien sĂ»r, comme dans tous les domaines, des individus particuliĂšrement douĂ©s. On peut toutefois prendre beaucoup de plaisir sans ĂȘtre meilleur sommelier du monde, et il est possible de dĂ©guster trĂšs bien, et rapidement, avec un peu d'entraĂźnement. Quelques cours avec un bon formateur pour acquĂ©rir les bases, et la machine est lancĂ©e. La suite n'est rien d'autre qu'un minimum d'efforts de mĂ©moire et beaucoup de curiositĂ©. Un petit truc, prenez le temps de noter vos impressions, vous pourrez vous y rĂ©fĂ©rer et cela vous permettra en outre de suivre l'Ă©volution de vos vins d'une bouteille Ă  l'autre. Les vins de pays sont-ils moins bons que les AOC ? À l'origine des classements, les vins de table constituaient le bas de l'Ă©chelle, les vins de pays le haut de gamme des vins de table, les VDQS vins dĂ©limitĂ©s de qualitĂ© supĂ©rieure l'antichambre des AOC appellation d'origine contrĂŽlĂ©e, et ces derniers le nec plus ultra du vignoble français. Était rattachĂ©e Ă  ce classement pyramidal une notion de qualitĂ©, depuis les vins courants du quotidien aux vins de qualitĂ©, voire prestigieux, des repas du dimanche. Aujourd'hui, ces notions ont bien Ă©voluĂ©, et les classements garantissent une provenance, un cahier des charges qui rĂ©glemente la production, mais pas nĂ©cessairement un niveau de qualitĂ©. C'est ainsi que certains vins de table ou de pays ont fait la gloire du Languedoc dans les annĂ©es 80 et encore Ă  ce jour, tandis que certains vins d'AOC de la rĂ©gion de piĂštre qualitĂ© ornent les linĂ©aires de la grande distribution Ă  moins de 2 euros la bouteille. Qu'est-ce qui fait la singularitĂ© des vins français ? Plus de 50 pays produisent aujourd'hui des vins de qualitĂ© capables de concurrencer les vins français. Cependant, la France est encore perçue comme le berceau des vins dits de terroir, marquĂ© par plus de 2 000 ans d'histoire. Si l'on prend par exemple le vignoble de Bourgogne, la diversitĂ© de ces micro-terroirs que l'on appelle les climats, et les nuances incroyables obtenues Ă  partir du seul pinot noir, on se doit de considĂ©rer que le vin n'est pas seulement une boisson alcoolisĂ©e, mais un vĂ©ritable Ă©lĂ©ment de culture. Cela ne signifie pas que les autres pays ne produisent que des vins sans Ăąme et stĂ©rĂ©otypĂ©s. La plupart des pays d'Europe ont des vignobles anciens et riches d'histoire, comme l'Italie, le Portugal ou l'Espagne. Les vignobles plus rĂ©cents d'AmĂ©rique du Nord et des pays dits du Nouveau Monde sont tout simplement moins anciens. Ils sont cependant en train d'intĂ©grer la notion de terroirs, et le niveau qualitatif explose. Quels verres doit-on utiliser pour mettre le vin en valeur ? Au minimum, on utilisera un verre Ă  pied suffisamment Ă©vasĂ© Ă  la base et resserrĂ© au niveau du buvant le bord du verre afin de concentrer les arĂŽmes. Tous les amateurs de vin connaissent le verre INAO, mais il existe aujourd'hui une quantitĂ© trĂšs importante de modĂšles, et les marques dignes de ce nom rivalisent de crĂ©ativitĂ© et en proposent parfois plusieurs dizaines. En rĂ©alitĂ©, deux Ă  trois modĂšles de verre sont suffisants pour dĂ©guster et apprĂ©cier l'essentiel des types de vin. Pour faire son choix, une expĂ©rience trĂšs simple Ă  rĂ©aliser consiste Ă  dĂ©guster le mĂȘme vin dans des verres diffĂ©rents, le rĂ©sultat est Ă©difiant. On perçoit des nuances trĂšs nettes, Ă  commencer par l'expression aromatique. Il faut Ă©galement prendre en compte l'aspect pratique, comme le lavage et le stockage. Enfin, et contrairement Ă  l'usage Ă©tabli, il est prĂ©fĂ©rable de servir l'eau dans le petit verre et le vin dans le grand. Comment bien conserver ses vins ? Le premier critĂšre Ă  prendre en considĂ©ration est la tempĂ©rature, le second Ă©tant le taux d'humiditĂ©. ConservĂ©e dans le bas du placard Ă  provisions dans la cuisine, et de façon gĂ©nĂ©rale n'importe oĂč dans un appartement chauffĂ©, une bouteille de vin vieillira mal. Faute de vraie cave, l'amateur se verra rapidement dans l'obligation d'investir dans une armoire Ă  vins. TrĂšs performants, les modĂšles actuels prĂ©sentent toutes les caractĂ©ristiques d'une vraie cave, le charme en moins tempĂ©rature constante, taux d'humiditĂ© contrĂŽlĂ© il s'agit de l'hygromĂ©trie et bonne capacitĂ© de stockage. Pour stocker les grands crus de longue garde, il existe dans certaines grandes villes des stockeurs qui louent des mĂštres carrĂ©s dans de vraies caves Ă  vins oĂč l'on peut entreposer ses caisses et gĂ©rer son stock en toute sĂ©curitĂ©. Comment dĂ©boucher une bouteille de champagne ? L'ouverture d'une bouteille de champagne nĂ©cessite un minimum de dextĂ©ritĂ©. En principe, il faut retirer avec prĂ©caution le muselet qui recouvre et retient le bouchon, mais il peut ĂȘtre utile de le laisser, car il facilite la prise en main. On tient alors fermement et Ă  pleine main le bouchon, et de l'autre main, on tourne la bouteille. Il est effectivement plus facile de procĂ©der ainsi, car on dĂ©veloppe tout simplement plus de force que si l'on fait le contraire. Il est ensuite prudent de diriger la bouteille vers un mur et dans tous les cas ne viser personne. Le bouchon dans l'oeil est un des accidents domestiques les plus frĂ©quents, selon les assurances. Enfin, prĂ©voyez les verres Ă  proximitĂ©... Il peut arriver que le champagne s'Ă©chappe de la bouteille plus rapidement que prĂ©vu. Existe-t-il des vins fĂ©minins et des vins masculins ? La notion de vins fĂ©minins et vins masculins ne correspond pas Ă  grand-chose. En gĂ©nĂ©ral, on considĂšre comme fĂ©minin un vin fin et Ă©lĂ©gant, et comme masculin un vin tannique et puissant. Chacun peut apprĂ©cier la pertinence de ce type de comparaison. En revanche, en dĂ©duire que le premier correspond aux goĂ»ts des femmes et le second Ă  celui des hommes n'a strictement aucun sens. On connaĂźt des hommes qui ne boivent pas d'alcool et des femmes qui fument le cigare. De plus, pour avoir dĂ©gustĂ© de nombreux vins produits par des vigneronnes, nous pouvons affirmer que les vins profonds et costauds ne sont pas l'apanage des vignerons. Existe-t-il des aliments qui ne s'accordent pas avec le vin ? Il en existe, mais moins qu'on ne l'imagine. En fait, il y a surtout des aliments avec lesquels boire du vin ne prĂ©sente pas beaucoup d'intĂ©rĂȘt, sans que l'exercice soit pour autant une Ă©preuve. A-t-on vraiment envie de dĂ©guster un vin sur un potage de lĂ©gumes, des artichauts ou des poireaux vinaigrette, une laitue en salade, ou encore un yaourt aux fruits ? Ce sont essentiellement les lĂ©gumes verts et les cruditĂ©s qui ont tendance Ă  durcir les tanins des rouges et Ă  faire ressortir de façon gĂ©nĂ©rale le caractĂšre vĂ©gĂ©tal des vins. Tout se joue sur la maĂźtrise de l'amertume, et il est toutefois possible de limiter les dĂ©gĂąts. Un blanc sec Ă  base de muscat ou de sauvignon, qui exprime une nette fraĂźcheur vĂ©gĂ©tale, peut donner un accord fringant sur un plat d'asperges. voir toute la liste Un crime contre l’humanitĂ© politiquement incorrect la traite des Slaves du VIIIe au XVIIIe siĂšcle. Sait-on que le mot français esclave » vient du latin sclavus dĂ©signant l’homme slave asservi, terme apparu en ce sens en 937 dans un diplĂŽme germanique puis largement utilisĂ© dans les actes notariĂ©s gĂȘnois et vĂ©nitiens Ă  partir de la fin du XIIe siĂšcle pour finalement s’imposer dans les langues romanes et germaniques ? L’étymologie, encore plus explicite en anglais, rĂ©vĂšle un fait historique le plus souvent ignorĂ© non seulement du grand public, mais du milieu historien lui-mĂȘme la traite esclavagiste exercĂ©e aux dĂ©pens des peuples slaves du VIIIe au XVIIIe siĂšcle. Mr Alexandre Skirda, essayiste et historien d’origine russe, vient de consacrer Ă  cet Ă©pisode tragique de l’histoire europĂ©enne un livre 1 qui comble une lacune de notre documentation française, et qui pourtant n’a guĂšre suscitĂ© l’intĂ©rĂȘt du public parce qu’on ne lui fait pas la publicitĂ© qu’il mĂ©rite. Comment s’étonner de la censure mĂ©diatique ? Ce livre met Ă  la portĂ©e du grand public des faits irrĂ©futables permettant de constater la rĂ©duction en servitude de millions de Blancs, soumis Ă  une traite plus sĂ©vĂšre encore que la traite atlantique des Noirs d’Afrique puisqu’elle s’accompagnait de castration, et vendus dans la plupart des cas Ă  des acquĂ©reurs musulmans un dĂ©fi insupportable pour les canons de la repentance Ă  sens unique instaurĂ©s par la loi Taubira de 2001 ! On peut avancer une autre explication de l’injuste occultation du livre de Mr Skirda il nous introduit dans le monde slave qui ne nous est guĂšre familier, nos chercheurs Ă©tant affectĂ©s d’un tropisme anglo-saxon, et leur curiositĂ© se heurtant en outre au barrage linguistique induit par des langues difficiles, bien qu’indo-europĂ©ennes, et pour une bonne partie d’entre elles Ă©crites en alphabet cyrillique. Ainsi le Belge Verlinden, qui avait entrepris entre les annĂ©es 1940 et 1977 une volumineuse Ă©tude de l’esclavage aux temps mĂ©diĂ©vaux, aprĂšs s’ĂȘtre penchĂ© sur Al Andalus et le monde mĂ©diterranĂ©en, s’était arrĂȘtĂ© au pied des Carpathes, faute de connaĂźtre les langues slaves dans lesquelles Ă©taient rĂ©digĂ©s les principaux documents. Mr Skirda vient donc Ă  propos combler une lacune, par un ouvrage faisant la synthĂšse des Ă©tudes consacrĂ©es Ă  ce thĂšme, notamment de la monographie rĂ©cente, non encore traduite en français, de l’historien russe Dimitri E. Michine 2. Notre auteur distingue nettement deux traites des Slaves la traite occidentale, qui s’exerça en Europe centrale, et la traite orientale, qui sĂ©vit de la Pologne Ă  l’Oural. La premiĂšre ne dura que 300 ans, du VIIIe au XIe siĂšcle ; la seconde, qui dĂ©buta Ă©galement au VIIIe siĂšcle, dura quelque mille ans. Elles impliquĂšrent l’une et l’autre des peuples variĂ©s, qu’il s’agisse des victimes, les divers locuteurs de langues slaves rĂ©pandus de la BohĂȘme Ă  l’Ukraine, de la Pologne aux Balkans, ou qu’il s’agisse, cĂŽtĂ© prĂ©dateurs, de nomades turco-mongols venus des steppes de l’Asie centrale, les Polovtses, les Khazars et surtout les Tatars, auxquels il faut ajouter les Francs et les Juifs rhadhĂąnites 3 des Etats carolingiens, les VarĂšgues de Scandinavie, les GĂȘnois et les VĂ©nitiens, enfin les Turcs ottomans, lesquels prirent part Ă  ce crime contre l’humanitĂ© Ă  diverses Ă©poques historiques. Notons que la traite des Slaves fut contemporaine des traites arabo- et turco-musulmanes qui ravagĂšrent l’Afrique Noire et de la guerre de course menĂ©e par les Barbaresques qui hantĂšrent les cĂŽtes de MĂ©diterranĂ©e occidentale, un peu mieux connues grĂące aux travaux de MM. PĂ©trĂ©-Grenouilleau, Tidiane N’Diaye, Robert C. Davis et Jacques Heers, pour ne citer que ceux-lĂ . Le point commun qui rapproche ces diffĂ©rentes traites est qu’elles ont toutes, Ă  quelques rares exceptions prĂšs, Ă©tĂ© entreprises pour le compte d’Etats musulmans qui furent les plus gros demandeurs d’esclaves de l’histoire. Les responsabilitĂ©s de l’islam, civilisation esclavagiste par excellence » F. Braudel Depuis l’HĂ©gire en 622, l’islam s’est rĂ©pandu essentiellement par la guerre sainte ou djihad, aussi les Etats musulmans exigeaient-ils toujours plus d’esclaves – la religion mahomĂ©tane justifiant la rĂ©duction des infidĂšles en servitude – pour mettre en valeur, administrer et policer des territoires qui s’accroissaient au fur et Ă  mesure de leurs conquĂȘtes, sans compter les besoins en soldatesque et en galĂ©riens pour mener la guerre sur terre et sur mer. La demande en femmes ne fut pas moins exigeante, non seulement pour accomplir les travaux domestiques chez les maĂźtres, mais aussi pour remplir les harems des califes, sultans et hauts dignitaires dont la religion aphrodisiaque engendrait une polygamie au sens large du terme puisqu’elle permet, outre les quatre Ă©pouses lĂ©gitimes autorisĂ©es par le Coran, d’user d’un nombre illimitĂ© de concubines le plus souvent esclaves .C’est ainsi qu’Abd Ar Rahmane III, qui rĂ©gna de 912 Ă  961 sur Cordoue, disposait d’un harem comptant 6300 femmes, eunuques et domestiques, le palais fatimide du Caire, Songeons aussi que l’avĂšnement d’un nouveau maĂźtre pouvait exiger le renouveau du harem du dĂ©funt Ă  Istanbul il arriva au XVIIe siĂšcle qu’un vizir se dĂ©barrassĂąt des favorites de son prĂ©dĂ©cesseur en les noyant dans le Bosphore, aprĂšs avoir cousu les malheureuses dans un sac ; ce Barbe-Bleue enturbannĂ© eut des imitateurs ! 4 La castration des esclaves, mortelle dans plus de la moitiĂ© des cas en ces Ă©poques de mĂ©decine rudimentaire, rĂ©pondait Ă  la stratĂ©gie millĂ©naire de l’islam qui a toujours utilisĂ© la dĂ©mographie comme une arme de guerre. La stĂ©rilisation des immigrĂ©s esclaves Ă©vitait la submersion dĂ©mographique des fidĂšles d’Allah par des Ă©trangers infidĂšles. Aussi n’y eut-il pas plus de problĂšme noir que de problĂšme slave en Arabie Saoudite ainsi que dans les autres Etats islamisĂ©s sur la longue durĂ©e. Les eunuques n’étaient pas seulement prĂ©posĂ©s Ă  la garde des harems, ils Ă©taient aussi employĂ©s comme soldats, ou comme gardes prĂ©toriens du calife ou du sultan tels les saqalibas d’Al Andalus. On comprend dĂšs lors – raretĂ© obligeant du fait de la non-reproduction par les naissances et de la mortalitĂ© des esclaves-militaires Ă  la guerre – la nĂ©cessitĂ© constante d’en renouveler le contingent. Les musulmans disposaient grĂące Ă  leurs succĂšs guerriers d’un immense trĂ©sor en mĂ©taux et objets prĂ©cieux procurĂ©s par le pillage ; ils parvinrent aussi Ă  contrĂŽler par leurs conquĂȘtes les mines d’or du Sud-Soudan le dinar et le dirhem dominaient le marchĂ© mondial du Haut Moyen Age ; ils purent donc payer Ă  prix d’or les marchands de bĂ©tail Ă  visage humain la demande stimulait l’offre et finançait la traite. La traite occidentale des Slaves La traite occidentale qui dĂ©buta au VIIIe siĂšcle concernait ceux des TchĂšques, des Moraves, des Slovaques, des Polonais, des SlovĂšnes et des Croates de Slavonie qui furent razziĂ©s ou faits prisonniers dans les guerres les opposant Ă  leurs agressifs et puissants voisins germains ou hongrois, quand ils ne s’opposaient pas en combats fratricides, comme il arriva parfois entre TchĂšques et Polonais. Les prisonniers Ă©taient acheminĂ©s vers Prague, grande plaque tournante de l’esclavage, puis Ă  Verdun, le plus important centre europĂ©en de castration du Haut Moyen Age, pratique essentiellement rĂ©alisĂ©e par des Juifs dont c’était la spĂ©cialitĂ© en raison de leur familiaritĂ© avec le rite de circoncision ; les malheureux Ă©taient ensuite acheminĂ©s vers Cordoue, capitale de l’Espagne islamisĂ©e depuis la conquĂȘte de Tariq. Le transport et la vente Ă©taient assurĂ©s par les RhadĂąnites, nom signifiant en persan connaisseur des routes » par lequel on dĂ©signait les marchands juifs s’adonnant au trafic international ; leur itinĂ©raire empruntait la vallĂ©e du RhĂŽne et le port d’Arles. Les Esclavons de Slavonie pouvaient ĂȘtre enlevĂ©s Ă  partir des cĂŽtes dalmates par des bandes armĂ©es, puis expĂ©diĂ©s Ă  Venise, oĂč on peut encore voir le quai dit des esclavons » ; de lĂ  ils Ă©taient transportĂ©s jusqu’en Al Andalus, nom de l’Espagne islamisĂ©e depuis la conquĂȘte de Tariq en 711. Ce matĂ©riau humain pouvait ĂȘtre rĂ©exportĂ© vers d’autres pays musulmans la Syrie, l’Egypte, l’Irak ou le Maghreb. La traite occidentale prit fin au XIe siĂšcle en raison des progrĂšs de la Reconquista qui barrait la route aux RhadhĂąnites, en raison aussi de la fin survenue en 1031 du califat de Cordoue qui Ă©clata en principautĂ©s rivales, les taĂŻfas. Le dĂ©veloppement Ă©conomique, la christianisation des peuples slaves d’Europe centrale entre le VIIIe et le XIe siĂšcle, leur structuration progressive en Etats La plus grande partie du commerce des Radhanites Ă  travers l’OcĂ©an indien aurait Ă©tĂ© menĂ© grĂące Ă  des bateaux cĂŽtiers telque ce boutre comparables Ă  ceux des voisins germaniques influencĂ©s par le modĂšle de l’Empire romain, et dont la puissance rĂ©galienne se rĂ©vĂ©la capable d’assurer une certaine sĂ©curitĂ©, ne furent pas non plus Ă©trangers Ă  la fin de la traite occidentale des Slaves. La traite orientale des Slaves Les peuples slaves qui s’étaient installĂ©s Ă  l’est de l’Europe connurent mille annĂ©es de vicissitudes Ă©tablis sur des plaines immenses dĂ©pourvues d’obstacles naturels permettant d’assurer leur protection contre les envahisseurs, placĂ©s aux confins de l’Asie centrale parcourue par d’incessantes hordes nomades de pillards, il ne leur fallut pas moins de mille ans pour bĂątir un Etat solide, capable de rĂ©sister aux agressions Ă©trangĂšres. Paradoxalement, le premier Etat russe fut créé au IXe siĂšcle par des Scandinaves du nom de VarĂšgues qui avaient Ă©tĂ© appelĂ©s en renfort par les Ukrainiens en butte aux attaques des nomades polovtses, petchĂ©nĂšgues et khazars, mais les chefs vikings songeaient avant tout Ă  exploiter l’Ukraine comme une colonie dont la ressource principale Ă©tait l’habitant qu’ils razziaient avec une habiletĂ© de chasseurs d’homme proverbiale, pour aller le vendre soit au nord, sur la plaque tournante de l’esclavage viking que fut Hedebut au Danemark, soit au sud Ă  Byzance, capitale de la chrĂ©tientĂ© d’Orient qui ne connut pas l’extinction rapide de l’esclavage touchant la chrĂ©tientĂ© occidentale Ă  la mĂȘme Ă©poque. Peu Ă  peu les Russes, dont le nom vient du suĂšdois ruotsi » signifiant rameurs », s’émancipĂšrent de leurs tuteurs paĂŻens ils obtinrent Ă  partir de 964, sous Sviatoslav, des princes de leur sang et parlant leur langue, puis se convertirent en 988 au christianisme sous l’influence de missionnaires byzantins, et bĂątirent un Etat qui dura jusqu’à la conquĂȘte mongole au XIIIe siĂšcle, mais qui fut incapable d’enrayer la traite esclavagiste. Les Khazars, peuple turcomane plus ou moins judaĂŻsĂ©, expĂ©diaient les victimes de leurs rapts vers l’est, Ă  Itil, leur capitale situĂ©e sur la Volga, de mĂȘme qu’à Boulgar plus au nord, ainsi qu’à Boukhara et Samarcande, centres de castration et d’un commerce esclavagiste fructueux Ă  destination non seulement de Bagdad, mais aussi de l’ExtrĂȘme-Orient. Les Khazars quittĂšrent la scĂšne de l’histoire au XIe siĂšcle, Ă©liminĂ©s par les Byzantins, tandis que les VarĂšgues renonçaient Ă  la traite au XIIIe siĂšcle aprĂšs leur conversion au christianisme et au travail productif. C’est alors que les GĂȘnois, auxquels l’empereur latin de Byzance a confiĂ© la maĂźtrise de la mer Noire, entrent en scĂšne pour deux siĂšcles installĂ©s dans les anciennes colonies grecques qu’ils exploitent en intermĂ©diaires d’une traite alimentĂ©e par les razzias mongoles au dĂ©triment de Slaves et de Grecs orthodoxes ou de paĂŻens abkhazes, tcherkesses ou tatars, ils ravitaillent l’Egypte des Mamelouks en jeunes garçons destinĂ©s Ă  renforcer l’armĂ©e. Leurs rivaux vĂ©nitiens se taillent une petite part du marchĂ© servile, en se spĂ©cialisant dans l’exportation de femmes Ă  partir de leur port de Tana sur la mer d’Azov. ChassĂ©s de la mer Noire par l’avancĂ©e des Turcs ottomans, maĂźtres de Byzance depuis 1453, les Italiens se repliĂšrent sur la MĂ©diterranĂ©e orientale et laissĂšrent la CrimĂ©e aux Tatars. Ce peuple turco-mongol converti Ă  l’islam au XIVe siĂšcle fut le plus fĂ©roce esclavagiste de l’histoire russe, menant des incursions ravageuses du XVe au XVIIIe siĂšcle sur le monde russe. Vassaux des Turcs ottomans, les Tatars, ravitaillaient Istanbul et son empire en esclaves prĂ©levĂ©s sur les terres des Slaves orientaux. Leurs dĂ©prĂ©dations prirent fin sous le rĂšgne de la tzarine Catherine II, victorieuse de l’Empire ottoman. Un bilan dĂ©sastreux Le bilan humain de cette traite millĂ©naire est fort difficile Ă  quantifier, faute de documents, surtout pour les pĂ©riodes lointaines. Entre le VIIIe et le XIIe siĂšcle, Mr Skirda estime le nombre de victimes Ă  plusieurs centaines de milliers d’ĂȘtres humains, auxquels il faut ajouter un million de prisonniers rĂ©duits Ă  la servitude, s’ajoutant au million de tuĂ©s du fait de la conquĂȘte mongole. L’EncyclopĂ©die ukrainienne de 2002 a Ă©valuĂ© Ă  2 M / 2,5 M le nombre d’esclaves prĂ©levĂ©s par les Tatars sur l’Ukraine, la BiĂ©lorussie et la Moscovie entre 1482 et 1760, chiffre considĂ©rable si l’on tient compte de ce que la population de ces rĂ©gions entre ces dates peut ĂȘtre estimĂ©e Ă  5 ou 6 M d’habitants. Une caravane de dromadaires en AlgĂ©rie. La plus grande partie des Ă©changes commerciaux menĂ©s par les Radhanites entre Tanger et la MĂ©sopotamie aurait Ă©tĂ© effectuĂ©es Ă  dos de dromadaire Le total des victimes de la traite des Slaves entre le VIIIe et le XVIIIe siĂšcle est Ă©valuĂ© en millions par Mr Skirda ; peut-ĂȘtre, si l’on veut ĂȘtre prĂ©cis, peut-on avancer le chiffre de 4,5 M d’ñmes, en se fondant sur le bilan de la traite barbaresque Ă©tabli par Mr Davies Ă  esclaves europĂ©ens pour le seul domaine de la MĂ©diterranĂ©e occidentale, sur une pĂ©riode quatre fois plus rĂ©duite. Ce prĂ©lĂšvement catastrophique a largement contribuĂ© au retard Ă©conomique de l’Europe orientale par rapport Ă  l’Europe occidentale. On ne suivra pas Mr Skirda sur certaines de ses conclusions par exemple lorsqu’il attribue la renaissance Ă©conomique occidentale des Xe et XIe siĂšcles aux profits rĂ©alisĂ©s par les marchands italiens grĂące Ă  la traite des Slaves, rejoignant le raisonnement des tiers-mondistes qui attribuent l’essor du capitalisme aux profits rĂ©alisĂ©s grĂące Ă  la colonisation ; on peut alors se demander s’il n’appelle pas Ă  une nouvelle repentance qui s’ajouterait Ă  celle que nous ordonne la bien-pensance gauchiste. De mĂȘme ses sympathies pour l’anarchie l’empĂȘchent-elles de rĂ©aliser le potentiel de protection assurĂ© par la puissance rĂ©galienne d’un Etat exerçant le monopole de la violence au service de ses ressortissants c’est l’avĂšnement de vĂ©ritables Etats en BohĂȘme, en Pologne ou en Russie qui mit fin aux intrusions prĂ©datrices provoquant la rĂ©duction en servitude de leurs habitants. Ces restrictions mises Ă  part, on ne peut que recommander la lecture d’un ouvrage qui nous rĂ©vĂšle un Ă©pisode ignorĂ© de l’histoire, dont la mĂ©connaissance est source du prĂ©jugĂ© voulant que les Blancs indo-europĂ©ens aient toujours Ă©tĂ© les mĂ©chants exploiteurs de la planĂšte, tandis que ceux qu’ils colonisĂšrent au cours des deux derniers siĂšcles sont crĂ©ditĂ©s des meilleures intentions du monde, puisqu’ils pratiquent une religion d’amour, de tolĂ©rance et de paix ». Abbon 12/07/2013 Notes 1 Alexandre Skirda, La Traite des Slaves l’esclavage des Blancs du VIIIe au XVIIIe siĂšcle, Editions de Paris Max Chaleil, octobre 2010. Historien et essayiste, Alexandre Skirda, nĂ© en 1942 de parents rĂ©fugiĂ©s de la guerre civile, est un spĂ©cialiste du mouvement rĂ©volutionnaire russe. Il a publiĂ© dans la mĂȘme collection Nestor Makhno, le cosaque libertaire, Les anarchistes russes, les soviets et la rĂ©volution de 1917, Le Socialisme des intellectuels de MakhaĂŻski traduction et prĂ©sentation. 2 Dimitri E. Michine, Sakalibas, slavaniĂ© v islamskom mirĂ© Sakalibas, les Slaves dans le monde musulman, 2002. 3 RadhĂąnites aristocratie marchande du monde juif mĂ©diĂ©val dont le nom persan, signifiant connaisseur des routes », Ă©voque le rayonnement mondial de l’Orient Ă  l’Europe et Ă  l’ExtrĂȘme-Orient. Mr Jacques Attali rend hommage Ă  leur connaissance des langues les plus variĂ©es et Ă  leur sens des affaires qui les rendirent indispensables dans les relations entre le monde arabe et la chrĂ©tientĂ©, notamment au cours du Haut Moyen Age cf. Les Juifs, le monde et l’argent, Paris 2002. Des auteurs persans et arabes attestent le rĂŽle des RadhĂąnites dans la traite esclavagiste et leur spĂ©cialitĂ© de la castration des esclaves par exemple Ibn Kordabeh, maĂźtre des postes persan en 847, ou Ibn Hankel, auteur arabe du Xe siĂšcle. 4 Georges Young, Constantinople des origines Ă  nos jours, Payot, Paris 1948. Correspondance PolĂ©mia – 14/07/2013 Image Le marchĂ© aux esclaves – Jean LĂ©on GĂ©rĂŽme, vers 1866 Accueil RĂ©gion Le Havre Les cabanes de plage rĂ©apparaissent peu Ă  peu sur la plage du Havre. Mais suivant la dĂ©cision de la municipalitĂ©, les peintures colorĂ©es ont disparu au profit du blanc. Ce qui n’est pas vraiment du goĂ»t de la plupart des cabanistes. Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s le mage vainqueur Une famille de Montpellier fauchĂ©e par un supporter algĂ©rien qui fĂȘtait la victoire de son Ă©quipe 36813 лОп. 2019 р. Qui veut gagner des migrants ? - EnvoyĂ© spĂ©cial 37058 лОп. 2019 р. Comment la Gaule romaine est devenue la Fille aĂźnĂ©e de l'Eglise - Terres de Mission n°134 2658 лОп. 2019 р. Des sources et petits ruisseaux ont Ă©tĂ© effacĂ©s des cartes IGN pour ne pas avoir Ă  les protĂ©ger 
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c était mieux du temps des blancs